Selon l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, il se consomme plus de 10.000 kilos de viande chaque seconde dans le monde. En 2017, 323 millions de tonnes de viande étaient consommées et la consommation de viande continue de grimper à l’échelle mondiale. 

Si en France on consomme légèrement moins de viande et particulièrement depuis dix ans. Le chiffre reste élevé, on en consomme encore 135 grammes par jour et par personne, soit près d’un kilo par semaine, incluant bœuf, volaille ou autre canard, la viande reste profondément inscrite dans les habitudes alimentaires hexagonales. 

Selon une étude en 2018, 35 % des Français, et 43 % des cadres, déclarent  réduire leur consommation de viande, vers un modèle « flexitarien ». les 18-24 ans semblent les moins concernés par cette baisse de la consommation de viande, qui fait partie de leur quotidien, la malbouffe reste dans leurs assiettes (hamburgers, sandwichs, pizzas).

La viande reste le premier poste de dépenses alimentaires des Français , qui ont une bonne image de la viande, de son goût et de ses vertus.

Notre pays, nos régions de terroir et de tradition, reste dans les esprits de nos concitoyens comme la patrie du bien manger et de la gastronomie. Plus de 90 % des personnes interrogées la considèrent la viande comme un aliment « nourrissant », « qui a du goût » et qui « fait partie des aliments qu’on a plaisir à manger ».

Bien sûr, Il ne faut pas s’en gaver, mais un morceau de viande a des vertus essentielles au bon fonctionnement du corps humain. Particulièrement riche en protéines, nécessaires au maintien de la masse musculaire, la viande apporte aussi des acides aminés, des minéraux (fer, zinc), qui permettent de d’oxygéner nos cellules. Autre source de vitamine appréciable, la vitamine B.

ll y a quelques décennies, les recomm